Eklendys

Le Livre d'Amertume

(récit)

Parution : 13 juin 2017
ISBN : 9782366860412
Format : 10,8 x 17,8 cm
1264 pages (19 €)
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« Une histoire d'amitiés au long cours. 
Mais entre les amis et la sécurité, que choisir ? »

En nous retrouvant au Cercle chaque vendredi soir, Viktor, Klara, Maria et moi pensions trouver un espace de sérénité, loin d'une terrible crise politique : cette année-là, Eklendys était en effet au bord du chaos. Mais un jour, le Loup est entré dans notre bergerie, faisant basculer le destin de tous... en même temps que celui du pays. Car le colonel Leidkross a toujours agi ainsi : froidement, sans remords ni états d'âme.
De quoi exacerber les sentiments et les tensions au sein de notre petit groupe d'amis... et conduire dans la violence à cette catastrophe dont le Cercle ne se relèverait pas.
Jusqu'au jour où, me rappelant ma promesse, j'eus la folie de vouloir prouver le contraire.

L'avis de​s lecteurs

« Le Livre d’Amertume que je viens de lire est passionnant ! J’ai tourné la dernière page avec regret, presque avec tristesse tant je m’étais attachée aux personnages. Les quitter c’était comme quitter des amis..... Un beau livre traitant des relations humaines, de la Vie et très bien écrit ! » 
     Maryvonne F.-C. 

« Tête-à-tête envoutant avec des personnages attachants au potentiel dramatique latent... mené de main de maître par un narrateur attentif et servi par une belle plume. » 
     Chris P. 
 
« Mais alors, de quoi parle-t-il donc, ce livre formidable ? D’amitié dans l’épreuve, avec une humanité profonde et chaleureuse. (...) Au final, beaucoup d’émotion et d’humanité, et des moments de suspense qui font qu’on a du mal à s’arrêter de tourner les pages. Bref, même si c’est un gros livre (plus de 1200 pages !), il ne faut vraiment pas être effrayé, les chapitres sont très courts, le rythme est rapide et cela se lit très vite. (...) Pour conclure : vraiment une découverte, un livre très bien écrit et très bien construit. Je vous le conseille absolument ! » 
     Neptunya (Babelio.fr)

Ainsi que la critique de Georges Bogey à découvrir ici .